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Covid 19 : l’engagement accru des hôpitaux privés reste insuffisamment reconnu financièrement
Covid 19 : l’engagement accru des hôpitaux privés reste insuffisamment reconnu financièrement
Mis à jour le
Source originale :
Hospimedia
« Les médecins du privé non lucratif accusent l’État “d’étouffer” leurs établissements »
Publié le 17/11/2020
Lors de la première vague de l’épidémie, le constat général était décevant quant à la collaboration entre hôpitaux publics et hôpitaux privés : les seconds avaient bien souvent déprogrammé la plupart de leurs activités mais n’avaient pas été sollicités quand les premiers s’étaient retrouvés surchargés.
Aujourd’hui, le constat est différent : la collaboration est effective et fonctionne dans bien des régions.
L’engagement du secteur privé dans la gestion de cette épidémie est donc essentiel et leur reconnaissance est importante, que ce soit pour le secteur privé non lucratif ou lucratif.
Durant le Ségur de la santé, ils n’ont pas été oubliés en ce qui concerne le personnel non médical puisque ceux-ci bénéficient également d’une revalorisation : 183€ nets par mois pour le secteur privé non lucratif (de même que dans le secteur public) et 160€ net par mois pour le secteur privé lucratif.
Néanmoins, le constat n’est pas le même pour le personnel médical de ces établissements privés, surtout concernant les établissements privés à but non lucratif.
Cette situation met en danger de nombreux établissements privés non lucratifs qui perdent en attractivité pour plusieurs raisons :
A ce sujet, la Fédération des établissements hospitaliers et d’aide à la personne réclame d’ailleurs une suppression de la taxe sur les salaires (qui représente 6 à 7% des dépenses de personnel des établissements privés à but non lucratif).
Ces établissements, qui sont plus de 850 en France (environ 27% des établissements de santé), constituent pourtant l’un des piliers du système de santé français. Ils partagent avec l’hôpital public la même mission de service public en garantissant l’accès au soin pour tous.